Carcassonne - trompe l'oeil - avril 2012

 

Près de chez ma Mère, en Charente Maritime, se trouve la petite, toute petite, ville de Trizay,

au rond point le moine vous indique la direction de l'abbaye cachée loin dans la campagne.

 

 

Mars n'étant pas encore dans la saison touristique, j'ai trouvé portes closes, et ai tenté quelques photos :

 

 

 

 

mais finalement c'est encore internet qui me permets, et je vous y invite, de visiter cette abbaye avec des images plus belles que celles que j'aurais pu ramener.

L'abbaye de Trizay en Charente-Maritime par mindhammer

 

 PZ suite à une erreur involontaire de l'ordinateur, Labaronne ne faisant jamais de con..ries, l'article a été lu par certains d'entre vous il y a quelques jours, alors ne pensez pas que je radote si vous le visualisez une deuxième fois

passage à Saintes (17) mars 2012

T'as du pot,

 

Il me reste encore une bouteille

 

 

Prends un siège

 

 

Pour l'ombre désolé, le parasol a été tout retourné par le dernier coup de vent.

 

Le temps n'était pas extraordinaire, juste assez doux pour une petite sortie : donc pêche au menu, sauf que c'est quoi ces bouteilles de coca ?

 

c'est quoi ces déchets dans mon espace de vie ?

 

 

 

et les poissons du coup,  ils sont où mes casse croutes

 

 

je vais voir en face si c'est mieux, enfin moins pollué, mais sans illusion !

 

 

pas facile la vie d'une aigrette !

 

après l'autoroute, sortie SAINTES, et après BEURLAY

 

 

où je fais le plein de galettes (voir le site ICI)  pour les amis et la famille, après avoir passé ce rond point, 

 

la route est droite, le paysage plat, et je me sens chez moi quand je vois ça :

 

 

puis plus près

 

 

ma Mère habite rue du Transbordeur, donc tout près du pont du même nom

 

et puis comme le temps était carrément pourri pour le marché de Noël,

le soir j'ai été voir ça :

 

 

 

 

 

et je me pose une question : d'où sommes-nous ? de la région qui nous a vu naître ou de celle qui nous a adopté et dont nous avons pris la façon de vivre ? 

ma réponse : les deux sont inséparables, je défends l'une et l'autre avec autant de vigueur,

elles deux sont parties intégrantes de mon pays.

 

 

 

Le vallon Saint Germain : Notre terrain de jeu, tout en bas, loin des grands, des parents et nos jeux étaient tellement simples.

 

 

Nous jouiions à nous faire peur dans la chapelle abandonnée à l'époque, et occupée par de nombreuses chauve-souris (et non elles ne s'accrochent pas aux cheveux, mais quels cris elles ont déclenché lorsque nous les dérangions).

 

 

 

 

Nous avons surement joué à la princesse sauvée par un preu chevalier, nous courrions, sautions, rions, et rentrions le soir pour manger et dodo bien mérité.

 

 

La source miraculeuse et la Chapelle de Saint Germain.

 

       

 

 

Cette source alimentait, sous l'Empire romain, les thermes des villas gallo-romaines.

 Le 28 mai 778, l'armée de Roland, neveu de Charlemagne, atteinte de la peste, fit une halte dans le vallon de Saint Germain.

Roland fit le vœu d'élever un oratoire si ces hommes étaient guéris par cette eau. Le vœu fut exaucé.

Apprenant cette guérison miraculeuse, Charlemagne fit donc édifier quelques années plus tard une chapelle qu'il dédia à Saint Germain évêque de Paris au VIe siècle, pour lequel Charlemagne avait une profonde vénération.

 

 

La fête du village a lieu tous les ans le dernier dimanche de mai et un pèlerinage célèbre cet événement

 

     

 

combien de générations d'enfants ont grimpé sauté et se sont reposé sur ce tronc couché ?

 

bien beau de descendre, mais pour retrouver le siècle présent, faut remonter.

 

 

 

l'eau courante existait déjà .......à l'extérieur !

 

 

 

prochaine étape, la fontaine miraculeuse