Ouffffffffff, je suis sur mon PC et ça marche, par contre sur le portable, niet, donc pas de publication depuis fort longtemps, et ça commence sérieusement à me manquer.

Il va donc falloir que je charge sur le PC mes photos pour partager avec vous.

Tout va très très bien, l'été est là, la sérénité aussi, et lundi je pars quelques jours dans le Cantal. Nous allons découvrir une région que nous ne connaissons pas.

Je vous embrasse tous très très fort et à bientôt pour des images.

Voilà, la fin, une fin que je n'attendais pas, que je ne souhaitais pas comme ça, mais on ne gouverne pas les évènements : mon mari est parti le 10 avril, arrivé au bout du bout, il ne voulait plus vivre je pense et s'est laisser aller.

La page est donc tournée, moi je tricote une nouvelle vie entamée il y a quelques mois sans qu'il en sache rien, il était inutile d'en rajouter.

La campagne est belle,

le chat collant de câlins,

la demoiselle chien 

est ma "popine" comme disent les petits,

et je suis aimée, j'aime et je peux dire pour la première fois depuis des années que je suis heureuse.

Merci à tous d'avoir toujours été là, vous avez souvent été mon antidépresseur. Je vous lis toujours, sans forcément laisser de com mais je vous visite sans faute.

Le temps me manque un peu pour de nouveaux articles, mais le temps des photos revient.

Allez, pour vous prouver que tout va bien, une photo : pour une fois  j'étais  devant l'objectif, et j'avais oublié que je pouvais sourire comme ça !!!!

La vie est ainsi faite, parfois on doit tourner la page, c'est la décision que j'ai prise après 35 ans de vie commune dont 10 de cohabitation et les 6 dernières difficilement vivables.

Depuis bientôt trois mois je suis absente du ce blog, je lis les vôtres car vous êtes la meilleure chose qui me soit arrivée dans les moments où je m'enfoncais et Dieu sait qu'il y en a eu.

J'espère republier un jour, lorsque tout sera calmé, et ma nouvelle vie (et celle de Pouronchon dont je m'occupe quand même d'assurer le bien être pour son futur) en place.

Cette séparation n'est pas un déchirement -même si je regretterai cette maison que j'ai tant aimée- mais un nouveau départ pour ma nouvelle vie, ma vie à moi.

Merci à tous, je vous aime sincèrement, vous êtes tout sauf virtuels.

Pour terminer le beau regard de cette vache de l'Aubrac où j'ai passé trois merveilleuses journées à oublier tout ça.

Petit à petit il va se faire, ma vie est un peu chamboulée en ce moment, j'ai du mal à partager mon temps et surtout mon esprit, mais je vous lis toujours avec plaisir et suis très touchée par vos petits mots déposés depuis le 4 juin......déjà ????

Quelques fleurs, du rouge que j'aime, intense, chaud, sensuel, pour vous remercier.

Suis toujours en vie, suis toujours avec vos blogs, même de loin, mais sui surtout très occupée : mari à l'hosto, démarches diverses pour recherche emploi, et un peu de temps pour moi aussi !

Vous me manquez, tout devrait se stabiliser d'ici la fin de semaine.

A bientôt

Tu ajoutes, tu retranches, tu recalcules et au bout du compte ??????

40 ans de travail, sans un jour de chômage, peu d'arrêts maladie, un seul congé maternité.

Sous la droite on me dit retraite à 61 ans et 3 mois, OK

Puis on me dit 61 ans et 7 mois. OK

On me licencie (merci Sarko-Attali) parce que la profession pour laquelle je bossais depuis 36 ans est supprimée. OK

Je m'adapte, mon mari est handicapé, a besoin d'une présence, on va faire avec, surtout que le monsieur de popolemploi il a dit : compte tenu de votre âge soyez rassurées -nous étions plusieurs dans ce cas- vous percevrez les indemnités ARE jusqu'à votre retraite. OK on le croit, il sait lui, pas nous, c'est une première pour nous, on a toujours bossé.

(P.S. pour percevoir l'ARE jusqu'à l'âge de la retraite il faut, à 61 ans, être encore indemnisée par les ASSEDIC, donc si c'est après le délai de 36 mois......vous l'avez dans le baba, c'est l'ASS à  condition que votre conjoint n'ait pas de revenus)

Puis Mimolo il dit retraite à 60 ans à la condition que vous ayez cotisé un certain nombre de trimestres avant 18 ans et même 20 ans et que vous totalisiez entre 160 et 166 trimestres. OK j'ai tout ce qu'il faut même plus,

Ouffff j'entre dans le cadre, yesssss, je souris, comme la Joconde, non mieux, un vrai sourire, suis soulagée, vais pouvoir m'occuper de mon Pouronchon.

Sauf que, on vous donne d'un côté et on vous rabote de l'autre : maladie accouchement chômage : les trimestres sont limités et ne peuvent pas dépasser 6, les trimestres chômage 2

Résultat des courses j'avais 173 trimestres (alors que je n'avais besoin que de 165) et me retrouve, après rabotage, avec 161 !

Ben voilà, Pouronchon va devoir se débrouiller sans moi, je vais aller bosser, n'importe quoi pourvu que je trouve 4 trimestres (dans le privé ça ne changera rien quant au montant de la retraite)

La droite de Sarko plus la gauche de Mimolo ont abouti à ça.

Je ne rechigne pas à aller travailler (ailleurs que dans le droit SVP) j'ai bénéficié de plus d'un an de vacances payées par les ASSEDICS et à 59 ans je me sens en pleine forme, mais j'ai l'impression d'être baladée, et je n'aime pas.

Et puis pour bosser il faut trouver un emploi, mais il parait que c'est denrée rare en ce moment, mais ça, ça n'est pas leur préoccupation première.

Et je m'interroge, vais-je voter aux prochaines élections, quelles qu'elles soient ? d'ailleurs elle est où ma carte ? (Chéri tire la chasse s'il te plait)

Je vais pouvoir être épinglée moi aussi sur le mur des cons qui y ont cru !

en janvier j'avais publié ça :

http://le-coin-des-iles.eklablog.com/cote-jardin-cote-rue-a64637663

et bien hier j'ai pu voir ça :

cours particulier sous mes fenêtres : comment se faire un joint !

boffff je n'ai plus de réaction, j'aurais bien crié STOP, mais  c'est du temps perdu.

Enfermés dans une cave insalubre des Pavillons-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), sans lumière, privés de nourriture, au milieu de leurs déjections : le calvaire enduré durant trois ans par deux garçons de 10 et 12 ans a pris fin.

L’aîné a dénoncé ces mauvais traitements au commissariat de Bondy, racontant que « le père frappait [son] petit frère » de 10 ans.

Quand les policiers sont arrivés au domicile, ils ont découvert les conditions abominables dans lesquelles les enfants étaient obligés de dormir : un mince matelas « posé au sol » dans la cave de la maison, qui était « très sale » et « dans un état de délabrement avancé ».

« Ils dormaient à même le sol, sur des matelas, sans couverture, au milieu de leurs détritus », a décrit une source proche du dossier.

Les enfants étaient contraints de faire leurs besoins dans la pièce, sans fenêtre, sans lavabo ni point d’eau, « qui n’était pas nettoyée ».

Les parents « mettaient les enfants dans la cave et les enfermaient à clé à partir d’une certaine heure, sans électricité ».

Les deux garçons, qui ne mangeaient pas avec les adultes, se sont plaints aux enquêteurs de ne pas toujours manger à leur faim.

Lors des premières auditions, les parents ont reconnu qu’il leur arrivait de cacher la nourriture.

Ils étaient également victimes de violences dont le degré reste à définir.

Mais, « sur les bras, ils avaient des ecchymoses, des griffures ».

Pour justifier ces mauvais traitements, le père, un plombier de 39 ans, assure que ses garçons sont « insupportables ».

Les maltraitances duraient sans doute depuis trois ans et auraient commencé après le départ de la mère des deux garçons - « une toxicomane qui a disparu dans la nature » - et avec « l’arrivée de la belle-mère », une femme de 44 ans sans emploi.

Celle-ci a deux enfants, un garçon de 7 ans, qui avait sa propre chambre, et un autre âgé de 17 ans, petit rat à l’Opéra de Paris qui a décidé de le prendre en charge.

Tous deux «étaient gâtés». Les deux fils du père étaient scolarisés, mais dans un établissement différent de celui du fils de la belle-mère, qui fréquente une école privée.

Les enfants ont été placés auprès de l’Aide sociale à l’enfance.

Une source proche du dossier indique que l’école des deux garçons « avait fait des signalements ».

Le père et la belle-mère de ces enfants ont été mis en examen samedi soir pour violences sur mineurs, défaut de soins, privation d’aliments, et placés en détention provisoire.

Alors si on peut  choisir ses parents peut être que deux papas ou deux mamans ça serait mieux non ? tu en dis quoi Frigide ?

J'ai reçu ma déclaration de revenus - étant équipée internet je fais ma déclaration en ligne, pressée que je suis parce qu'étant au chômage depuis fin janvier 2012 et ayant fait des travaux ouvrant droit à un crédit d'impôt, mes prélèvements vont baisser  et j'ai donc l'intention, une fois cette déclaration faite de les ajuster, sauf que :

CA FAIT 30 MINUTES  QUE JE CHERCHE LA CASE 7TW SUR LA DECLARATION EN LIGNE CELLE DU MONTANT DES DEPENSES OUVRANT DROIT A CREDIT D'IMPOT

(soit dit en passant le crédit qui était de 22 % au moment de ma facture - février 2012- est maintenant de 17 %, les b...s comptez vous)

Je m'adresse donc au chat en ligne qui m'explique que je dois utiliser le moteur de recherche, qui me dit QUE LA RUBRIQUE N'EXISTE PAS !!!!

Je re tchate avec la dame qui me répond " c'est la 7TW ?"   et oui et la 7TT, la 7TU, la 7TV, la 7 TX, la 7 TY !!!!!!!!

c'est une erreur, nous"faisons remonter"............

.à qui ? à CAHUZAC qui s'est barré avec des sous sur lesquels il n'a pas payé d'impôts ?

aux neuneux soit disant doués qui ont conçu le site et qui sont pas foutus de mettre les rubriques qui ne concernent que les français moyens parce que les autres sur les investissements dans les DOM TOM, ou locatifs ou autres trucs dans ce genre ça me passe au dessus, par contre faire baisser tout de suite le prélèvement mensuel, ça, ça me concerne.

ça me gonfle, je ne supporte pas, l'incompétence est institutionnelle, mais ils ne sont pas responsables, ils vont me le dire j'en suis sure...........

Il va falloir qu'on se révolutionne, hein Papy ???

des coups durs, des coups de mou, des envies de tout plaquer, des envies de fuir ce qui me pèse tant, des envies de me terrer et de ne plus voir, de ne plus entendre les mots et les silences, des envies d'évasion pour un instant ou pour toujours, il y a............

et puis quand je regarde ces arbres, ces fleurs, cette nature qui jamais n'abandonne

je me réconcilie avec cette vie, je suis encore et encore émerveillée, et je me dis que si la nature le fait, je peux aussi le faire.