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C'est à l'école
de Caudecoste, Lot & Garonne :
(un petit coup de nettoyage de la plaque serait pas superflu, et la rendrait plus lisible)
Voici ce que me révèle l'inestimable wikipédia :
Les premiers habitants du site qui s’organisèrent furent les gallo-romains, ils habitaient au bord du fleuve, des vestiges de poteries, de tuiles et un four ont été mis au jour dans une gravière au lieu-dit « Berty » .
1096 : Communauté de Caudecoste Le Pape Urbain II reconnut la communauté de Caudecoste.
Mais les caprices du fleuve dont le cours était encombré de petits îlots et de bois, rendait cet habitat assez précaire, aussi ils se déplacèrent vers ce léger promontoire bien situé au bord de la première terrasse qui dominait toute la plaine.
On y accédait par une côte courte mais âpre... Où l’on avait très chaud en arrivant au sommet : d’où son nom Costo Caudo.
Pour se défendre des bandes de pillards qui convoitaient les réserves des paysans et même des Vikings qui firent des incursions en Agenais, ils entourèrent le village de palissades.
Au village, étaient implantés les commerces et les notables, en plaine, les paysans, les serfs cultivaient des céréales, et de la vigne sur les hauteurs.
Vers 1270, une crue de la Garonne que certains historiens toulousains donnent comme la plus importante jamais enregistrée, dévasta une grande partie des abris et des cultures situés dans la plaine.
Le petit village, entouré de palissades, ne pouvant accueillir tous ces gens qui ne voulaient plus construire si près du fleuve, il est permis de penser que les consuls de l’époque décidèrent à ce moment-là de construire une bastide plus importante et mieux défendue.
C’est donc entre 1273 et 1300 que fut menée à bien la plus grande partie de la construction de la Bastide de Caudecoste.
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Commentaires
Au nom du non remplacement d’un fonctionnaire sur deux partants à la retraite,
celui en charge de l’entretient de la plaque n’a pas été remplacé.
Bon dimancheSi je comprends bien, la Garonne, à une époque reculée, s'est payé son petit tsunami personnel? Un fleuve qui se la pète...
Bises,
Mo
Dis-donc, Martine, tu nous renvoies à l'école ! Je n'aurais jamais pensé, sans la plaque et sans ton commentaire, que ce (très) bas relief un peu naïf retraçait un morceau d'histoire ancienne.
Ici, point de côte, mais j'ai eu chaud moi aussi en taillant ma haie de pytosporum. Les voisions ont bien voulu que je taille aussi de leur côté, mais je devais me brancher chez moi. Le voisin ne m'a même pas tenu l'échelle ! Il m'a regardé faire en me tendant une fois ou deux mon taille-haie ou en me passant un bout de planche pour caler un des pieds de mon échelle bancale. Les voisins ne sont plus ce qu'ils étaient...
je suis d'accord avec toi, mon voisin laisse ses plantations déborder chez moi, il ne s'en occupe pas et trouve partique de dire "si ça vous gène vous pouvez couper"!!!!! et ben je coupe mais je laisse tout chez lui !!!!!!! si on veut pas la corvée du jardin on prend un appart et sans balcon encore !!!
mais bien plus proche aussi, en 1930 elle arrivait au niveau de notre premier étage, (le pont canal était à deux doigts d'être détruits puisqu'il faisait barrage) en 1982 nous avions le champagne au frais au rez de chaussé (il venait d'être livré) maintenant avec la centrale de golfech et le barrage, elle est régulée, plus chaude (cause centrale nucléaire) mais régulée .............
hé oui, du miror j'ai, j'ai toujours eu, souvenir de ma maman qui nous occupait à faire les cuivre ? ls bonnes choses ne s'oublient pas - bizzz
ce que j'aime c'est qu'il y a encore des instits qui ont une âme et font partager leurs coups de coeurs aus enfants - c'est très rassurant pour le futur, si personne ne vient leur parler de stats
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un coup de miror...tu en as chez toi? tu te déplaces avec !