• Dans la continuité du "coup de gueule" je veux vous informer, parce qu'aucun média n'en parlera, que le jeudi 26 mars les salariés des avoués manifesteront dans les cours d'appel et certains de leurs patrons, courageux, les accompagneront-
    il y a un peu plus d'un an comme je l'ai déjà dit nous étions 3000 à PARIS mais persone ne nous a vu. soyez attentifs et dites moi si vos journaux en parlent. Bordeaux rassemblera tout le sud ouest, et les bretons sont vraiment super Rennes se bouge, et je compte sur le Korrigan pour me dire si les médias diront ou montretront quelque chose.





















    Deux ans de lutte pour rien.... il y a de quoi se syndiquer!!!!!!!!!


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  • .Merci Cam et Cristal : petites pâquerettes  c'est bien le printemps

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  • Depuis des années, je vis là, oublié après avoir joué avec le petit devenu Lord, j'ai perdu mes jambes,mais est-ce par nostalgie on ne m'a jamais jeté..souvenir, souvenirs...(tu vois le Poulpe moi aussi je peux !)


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  • Bon heureusement que les touristes arrvent, je me sens moins seule avec mon appareil photo.
    J'ai été surprise par la richesse de certaine façades où les propriétaires ont fait graver leur nom
    ou initiales. L'avant dernière photo montre la maison d'un bijoutier horloger- Ces maisons ont
    sans souci trois ou quatre étages.
    La dernière photo, toit en zinc sur tour carrée, découverte "le nez en l'air" mais impossible de
    trouver comment y accéder.

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  • l'envie de faire des photos, un boulevard avec quelques constructions ayant gardé leurs façades haussmaniennes, et le nez en l'air bien sûr, voici ce que ça donne- bon je débute alors pour la perfection nous verrons celà, en toute modestie, plus tard, beaucoup plus tard :















      Ici exerçait il y a longtemps... un photographe, on peut lire encore son nom et sa profession gravés.

























     

     

     

     

     

     

     

      

     

     

























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  •   C'est Charly qui l'a dit, le premier qui voit la fleur mangera le fruit...je vous présente
    la première fleur de l'abricoter et c'est pas moi qui mangerai le fruit,... enfin si fruit il y a !!
    et comme un bonheur (modeste quand même) ne vient pas seul, le prunier commence enfin à faire des bourgeons.



     

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  • Explication : depuis 33 ans je suis secrétaire juridique dans une étude d'avoué - et j'adore ce que je fais.
    c'est quoi un avoué :
    - et bien vous avez un procès (au cvil) divorce, droit de passage, indemnisation accident de voiture.... vous allez devant un tribunal qui rend un jugement - ce jugement fait un mécontent, celui qui perd, et qui fait appel, devant une cour... d'appel- c'est là qu'intervient l'avoué, seul habilité à faire la procédure devant la Cour.
    - devant la Cour l'avocat n'est pas obligatoire.
    et j'ai pour habitude de dire à nos clients, qui nous découvrent, que l'avoué est le professionnel de la procédure, et c'est vrai.
    mais Sarko est venu, et Sarko -avocat- pour faire plaisir à ses amis -avocats- et non à cause de directives européenne, comme il voulait nous le faire croire, a décidé, (et si je le dis je le fais), la suppression de la profession. et pas de souci ils deviendront avocat..... et leur personnel.. on prendra des mesures.
    sauf que tous ne vont pas devenir avocat, s'ils intègrent un cabinet et bien leur chaise suivra mais par leur secrétaire, et un cabinet d'avocat emploi trois fois moins de personnel qu'une étude d'avoué.
    voilà la situation.
    ce qui me décide à mettre ça sur le blog, c'est un article très bien fait paru dans l'Humanité (P.S. nous ne sommes pas syndiquées)- précision étant faite qu'on parle de 1850 salariés (calcul fait en prenant pour base 35 h de travail) alors que nous sommes réellement 2600...(pas mal de temps partiels)  ça fait quand même une belle usine ET PERSONNE NE PARLE DE NOUS!!!!

    Je vous livre cet article :

    L’État a décidé la fin de la profession d’avoué, mais n’a pas prévu d’indemniser les 1 800 salariés qui verront leurs emplois disparaître.

    C’est un plan social à bas bruit. Il devrait toucher 1 850 salariés, qui ne savent ni quand leur poste sera supprimé ni s’ils bénéficieront de mesures sociales dignes de ce nom. En annonçant, en juin 2008, la suppression du recours obligatoire à un avoué, officier ministériel chargé de représenter les parties à un procès devant les cours d’appel, Rachida Dati a signé l’arrêt de mort de la profession. « Ils deviendront en conséquence des avocats », a simplement annoncé la garde des Sceaux. Quant aux salariés des études d’avoués, « leur problème est au cœur de la réforme », avait assuré le ministère de la Justice aux organisations de salariés.

    Rupture de carrière

    Neuf mois plus tard, cette promesse ne s’est pas concrétisée : les salariés n’auront droit qu’aux indemnités conventionnelles de licenciement économique et à un « plan d’accompagnement à l’emploi », c’est-à-dire une cellule de reclassement, financée par l’État. Rien de plus, leur a confirmé la Chancellerie la semaine dernière, lors de la réunion d’une commission tripartite réunissant État, employeurs et syndicats. Les négociations se déroulent sans visibilité, puisque l’avant-projet de loi n’a toujours pas été communiqué. La date de l’entrée en vigueur de la réforme - en principe début 2010 - n’est toujours pas connue avec précision.

    Les avoués employeurs et les syndicats - CFDT et CGT sont les plus actifs -, qui font pour l’instant cause commune, réclament une indemnité supralégale pour rupture de carrière, l’indemnisation de la perte de la retraite complémentaire, mais aussi des mesures de formation, des reclassements dans la fonction publique, des passerelles vers les autres professions du droit, une préretraite. « Sans accompagnement fort, il faut s’attendre à un carnage social », martèle Franck Nunes, président de l’Association nationale du personnel des avoués non syndiqué (ANPANS). Le personnel des études d’avoués se partage en deux catégories : les collaborateurs, qui sont environ 200, et effectuent sensiblement le même type de tâches que les avoués eux-mêmes, et les secrétaires, chargés de la saisie, du courrier, de la gestion des agendas.

    Tâches très pointues

    Ces personnels administratifs sont à 90 % des femmes, souvent seules avec enfants, explique Franck Nunes. Elles effectuent des tâches très pointues - ce sont des spécialistes de la procédure d’appel en matière civile -, tout en étant relativement peu qualifiées. Leur reconversion dans les cabinets d’avocats est peu probable : chaque avoué emploie un pôle de secrétariat important, en moyenne quatre salariés, contre moins de deux pour les avocats, lesquels sont déjà confrontés à la suppression des tribunaux décidés dans le cadre de la carte judiciaire. Ces personnels ont des caractéristiques qui pourraient se révéler dramatiques, explique Xavier Burot, chargé du dossier des avoués à la fédération CGT des sociétés d’études : « Ils sont assimilés par les banques à des fonctionnaires, donc n’ont pas d’assurance perte d’emploi pour leurs prêts immobiliers. »

    Le rapport complexe de ces personnels à leurs employeurs ne facilite pas leur expression, analysent quatre salariés d’Angers dans un texte publié jeudi. « Tiraillés entre une opposition collective à la décision gouvernementale et un rapport individualisé à leur employeur, les salariés sont contraints de se joindre - du moins en partie - à la cause de leurs employeurs pour faire entendre leur voix, expliquent-ils. Mais arrivera le moment où les intérêts des avoués et ceux des salariés risquent de se distancer, voire de s’opposer, quand il s’agira de négocier une indemnisation de la liquidation des études des uns et du licenciement des autres. » En attendant, l’ANPANS appelle à la grève les 26 et 27 mars, et prévient : « Nous avons été courtois pendant trop longtemps. »

    Lucy Bateman

    Une dernière chose, le 06 mars 2008 nous étions toutes et tous à Paris pour manifester,salariés et avoués unis, nous avons pointé 3000 personnes, AUCUN MEDIA n'a relayé notre mouvement.


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  •   Clocher sans cloche, celui de la maison d'arrêt, peut-être sonnait-elle en cas
      d'évasion ??
     Cachée pendant de nombreuses  années derrière un imposant et rouillé portail, cette
     bâtisse se laisse  désormais photographier sans faire de chichis.


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  •  

    Elles sont toujours là, malgré le fait que le sapin ait disparu. Je ne sais pas où elles nichent, mais elles restent fidèles à.......la gamelle (!) que nous garnissons de graines tous les jours (et deux fois par jour l'hiver et lorsqu'elles nourrissent leurs petits).
    Je vous présente donc Coucou et Coucoue, qui acceptent notre présence et s'écartent juste un peu le temps pour nous de les servir !!!
    On les appelle et elles arrivent avec leur cri cououououcouououou d'où leur nom ^^


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